L'idée ne réjouit pas vraiment les collectivités locales, engagés dans une convention de revitalisation du site, depuis le départ du fabriquant de stylos, mais un compromis de vente a été signé, mardi. Le patron d'une entreprise de vente par correspondance s'est associé à un promoteur immobilier, pour mettre 3 millions d'euros sur la table. Sur les 17 mille mètres carrés de l'ex-usine, une petite partie serait consacrée à la vente par correspondance, créant une 30aine d'emplois; le reste étant transformé en appartements. La Mairie de Valence envisage de préempter le site pour empêcher cette vente de se réaliser...